FAQ
Le poste n’existe pas dans le tableau des effectifs, il convient donc de le créer par délibération et d’effectuer ensuite la DCE auprès du CDG.
Le poste existe dans le tableau des effectifs (départ à la retraite, mutation, détachement…), il convient d’effectuer une simple DVE auprès du CDG31.
Le décret n° 2024-759 du 7 juillet 2024 étend à la fonction publique territoriale et hospitalière la faculté pour les autorités de recourir à la visioconférence pour les épreuves orales, auditions et les entretiens en vue du recrutement des agents de la fonction publique. Un arrêté du 8 juillet 2024 vient préciser les conditions et les modalités du recours à ce dispositif.
Est paru au JO du 14 juillet le décret n° 2024-801 du 13 juillet 2024 relatif à la mesure et à la réduction des écarts de rémunération entre les femmes et les hommes dans la fonction publique territoriale.
Pour mémoire, la loi n° 2023-623 du 19 juillet 2023, qui vise à renforcer l'accès des femmes aux responsabilités dans la fonction publique, impose notamment, lorsqu'ils gèrent au moins 50 agents, aux communes et établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) de plus de 40 000 habitants, de publier, chaque année, sur leur site internet, un index de l'égalité professionnelle regroupant les indicateurs relatifs aux écarts de rémunération entre les femmes et les hommes ainsi que les actions mises en œuvre pour les supprimer. Cette obligation, qui entre en vigueur au 30 septembre 2024, nécessitait des décrets d'application.
Le décret définit les indicateurs permettant de mesurer les écarts de rémunération et de situation entre les femmes et les hommes dans la fonction publique territoriale. Il précise en outre les modalités de publication des résultats de ces indicateurs et d’information des instances de dialogue social. Il prévoit enfin le régime des sanctions applicables en cas de non publication des résultats ou lorsque ces résultats sont inférieurs à une cible fixée par décret.
La loi n° 2024-475 du 27 mai 2024 transfère à l’Etat la prise en charge financière des personnels accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) pendant la pause méridienne.
Ainsi, à compter de la rentrée scolaire 2024, les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) seront rémunérés par l’État durant le temps scolaire et le temps de pause méridienne. La charge financière ne sera donc plus assumée par les collectivités territoriales.
Le décret n° 2024-641 du 27 juin 2024 est venu modifier notamment, les dispositions du décret du 26 août 2010, afin de prévoir que, pendant les périodes de congé de longue maladie (CLM) et de congé de grave maladie (CGM), les fonctionnaires de l’État bénéficieront du maintien du régime indemnitaire dans les proportions suivantes :
- 33 % la première année ;
- 60 % les deuxième et troisième années.
Les nouvelles dispositions sont applicables à compter du 1er septembre 2024 pour la rémunération des agents de l’État en situation de CLM et de CGM.
Pour la FPT, compte tenu du principe de libre administration des collectivités territoriales, l’organe délibérant peut, après saisine et avis du CST, modifier la délibération régissant les primes versées aux agents afin de transposer, au plus tôt à compter du 1er septembre 2024, les règles applicables à la Fonction Publique de l’État.
Le décret n° 2024-614 du 26 juin 2024 instaure une nouvelle prime, l'indemnité spéciale de fonction et d'engagement, au profit des agents relevant des cadres d'emplois de la police municipale et des gardes champêtres.
Elle est composée d’une part fixe et d’une part variable, l’organe délibérant d’une collectivité ou d’un établissement public peut instituer cette prime par délibération, après avis du comité social territorial.
Ce décret vient par ailleurs abroger, au 1er janvier 2025, l'indemnité spéciale mensuelle de fonctions et l'indemnité spéciale de fonction des directeurs de police municipale.
Une note et des modèles de délibération et d’arrêté sont disponibles.
Pour rappel : les retraités ne sont concernés que par le risque Santé. Les retraités peuvent adhérer à la convention de participation conclue par leur dernier employeur. Celui-ci pourra utilement les informer dans cette perspective.
Cette convention de participation couvre les fonctionnaires relevant du régime spécial de la CNRACL (fonctionnaires stagiaires ou titulaires) et les agents relevant du régime général de la sécurité sociale IRCANTEC (fonctionnaires stagiaires ou titulaires dans certains cas, contractuels de droit public et contractuels de droit privé) sans condition d’ancienneté.
Un agent en arrêt de travail peut adhérer.
Non, la convention en santé prévoit que chaque agent adhérent peut panacher les niveaux de couverture pour chacun des assurés (conjoint, enfants, ascendants).